Leur page a attiré mon attention car elle propose une offre intéressante afin de découvrir un auteur. Vous pouvez seulement aujourd'hui acheter en format Kindle ou similaire le livre Assassini : lame damnée de Jon Courtenay Grimwood pour 0.99€ !
J'avoue que je ne suis pas une grande fan de lecture sur écran, mais là cela permet de découvrir un nouvel auteur à moindre frais.
Il faudra donc guetter les samedis suivants pour pouvoir profiter des offres de Bragelonne ;)
Pour notre "moisiversaire" de Pacs, mon chéri a eu la tendre idée de nous acheter un de mes films préférés des studios Ghibli : Arrietty et le petit monde des Chapardeurs.
Ce film est réalisé par Hiromasa Yonebayashi et écrite par le maître Hayao Miyazaki.
L'histoire commence quand Shô, un jeune garçon d'une douzaine d'années, vient passer quelques jours dans la maison de sa grande tante dans la banlieue de Tokyo. Shô va subir une importante opération du cœur et il doit pour cela se reposer loin du bruit et de la pollution de la ville. Comme dans quasiment tous les Ghibli, les parents sont absents ! Quels parents indignes ces japonais ^^
Sho en pleine lecture avec le chat de la maisonnée,
Il va très vite découvrir qu'il n'est pas le seul à avoir choisi ce lieu comme villégiature. La maison est aussi habitée par des êtres miniatures, des Chapardeurs. Ces petits habitants viennent la nuit chaparder ce dont ils ont besoin aux humains, en toute discrétion. Ils ne doivent surtout pas être vus par les hommes.
Mais Arrietty, une jeune Chapardeuse de 14 ans, va être surprise en pleine excursion par Shô. Une amitié singulière va naître de cette rencontre...
Ce film d'animation s'inspire librement d'un roman jeunesse fantasy de Mary Norton , The borrowers, paru en 1952 (premier tome). Un film et plusieurs séries sont déjà nés de l'adaptation de cette oeuvre.
Mon plus gros coup de cœur pour ce film est la musique. J'ai eu la surprise de découvrir que ma harpiste préférée, Cécile Corbel, jeune artiste bretonne, avait créé la bande originale de ce Ghibli.
N'hésitez pas à aller découvrir cette jeune artiste au talent incontestable.
Voici la chanson de fin du film, juste magnifique :
La musique de Cécile Corbel reflète très justement le monde des Chapardeurs, ces petits êtres de légende que peu d'humains ont eu la chance de voir. Elle rythme très bien le film, rajoutant une émotion toute particulière à certains passages.
Les personnages de ce film sont très attachants et drôles, ce qui est vraiment un plus. La mère d'Arrietty, Homilly, est un de mes personnages préférés. Cette petite mère de famille ressemble étrangement à une mère humaine. Elle s'inquiète de manière excessive pour sa fille et son mari, ce qui donne des scènes assez cocasses.
Homilly, la mère d'Arrietty.
Image venant du site : pixelcreation.fr
Bref, un film à voir et à revoir, pour les petits comme les grands, pour croire encore au monde fantastique.
Le dernier né des Studios Ghibli sorti fin janvier chez nous a été réalisé par le créateur de Arrietty et le petit monde des chapardeurs, Hiromasa Yonebayashi.
Ce film est l'adaptation d'un roman, When Marnie was there (le titre japonais a gardé celui du roman) de Joan G. Robinson, publié en 1981.
Edition de 2014
Anna est une adolescente japonaise, sombre et solitaire. Depuis quelques mois, celle-ci se renferme de plus en plus, à en devenir taciturne et parfois même agressive envers sa famille et ses si rares amies. Sa colère se dirige tout particulièrement vers sa mère adoptive.
Des problèmes d'asthme de plus en plus fréquents aident sa mère à prendre la décision d'envoyer Anna passer quelques temps à la campagne, loin de l'air pollué de Tokyo. Sa tante et son oncle, qui l'accueillent dans leur maison de campagne très cosy, sont très ouverts et vont l'aider à retrouver une certaine sérénité.
L'arrivée d'Anna chez son oncle et sa tante.
Lors de ses balades dans la village, Anna va faire la découverte d'une villa dans les marais et y rencontre par la même occasion une jeune fille mystérieuse du nom de Marnie. Avec cette dernière, Anna redécouvre la joie de vivre et va en apprendre davantage sur elle-même durant son séjour...
Anna accompagné de Marnie (à droite)
Ce film est un petit joyau des studios Ghibli qui nous plonge dans la période tourmentée qu'est l'adolescence d'une jeune fille en quête d'identité. En sortant du film, on a tout de suite trouvé qu'il était facile de s'identifier à la jeune japonaise. Ses questionnements et ses craintes, ses colères, peuvent résonner avec l'histoire et les sentiments de tout un chacun. Ce qui rend ce film encore plus touchant et émouvant.
Les décors sont très soignés et l'animation très réussie, mais nous n'en attendions pas moins ! La musique est encore ici un point fort des studios Ghibli. La chanson du générique de fin est signée Priscilla Ahn. Il est assez rare de voir une chanson en anglais pour la bande originale d'un de leurs animés, mais là il faut dire que cette chanson est incroyablement belle et parfaite pour ce film. Le reste de la bande originale du film est composée par Muramatsu Takatsugu, un jeune compositeur de 36 ans.
Vidéo Youtube
Nous avons fait le choix de voir Les souvenirs de Marnie en VO afin de vraiment garder l'ambiance originelle et la spécificité du langage japonais. Parfois les doublages français ne sont pas de bonne qualité.
Je recommande vraiment ce film à tous les amoureux des films Ghibli mais aussi aux novices.
Il vous faudra peut être attendre sa sortie en DVD pour le voir car malheureusement il est toujours aussi difficile de voir des animés japonais dans les salles proches de chez nous (si vous avez des salles d'art et d'essais, ils les passeront surement).
Mali est une jeune dessinatrice française aux cheveux roses qui se dessine au fur et à mesure des tomes. Son entourage plus qu'hétéroclite et éclectique, nous apporte un petit supplément de rire à chaque lecture. Et bien évidemment, deux matous se font la part belle : Fëanor et Fleya. Le "petit défectueux" et sa soeur complètement barjo sont souvent au centre d'historie rocambolesques. La tribu est ensuite complétée par : John, un guerrier Normand, Feng, une petite réfugiée chinoise tombée du bateau, les énigmatiques Electro et Ladybird et bien d'autres...
Quand elle n'a pas le courage de se dessiner, c'est son larbin "Souillon", artiste timide mais très talentueux, qui s'y colle. Y compris pour la remplacer sur les salons de BD et nous gratifier de magnifiques dédicaces réalisées à l'aquarelle. ^^
Dédicaces salon du livre de Caen 2013
Tout est né d'un blog commencé il y a déjà quelques années où Maliki publiait chaque semaine un nouveau strip. Le succès aidant, les strips ont été publiés sous forme de recueils chez Ankama (que Souillon connaissait bien pour avoir travaillé sur Dofus). Six tomes ont déjà vu le jour et le septième est en préparation.
Souillon a travaillé sur son propre projet Hello Fucktopia, qui fera l'objet d'un autre article.
Si vous cet auteur vous intrigue, voici le lien vers son site où vous trouverez ses strips : http://maliki.com/
Sam (Rupert Friend) est un compositeur et pianiste de Jazz qui donne quelques concerts dans un bar de son quartier. Sa vie change quand il rencontre sa future femme Josephine (Sarah Wayne Callies), qui devient sa muse, sa confidente, et le moteur de sa vie. Mais le bonheur ne dure qu'un temps et Josephine meurt prématurément. Sam n'est plus que l'ombre de lui-même.
Il passe son temps dans la chambre d'hôtel où il a rencontré Joséphine en espérant un appel d'outre-tombe. Son train-train est bousculé par une jeune femme du nom de Pi (Clémence Poésy). Elle trouve refuge dans la salle de bain de la chambre d'hôtel et décide de revenir tous les soirs pour écouter Sam fredonner. Ils restent à vivre chacun derrière sa porte jusqu'à ce que Sam, sur le conseil de son confident George (Forest Whitaker), insiste pour voir le visage de sa visiteuse nocturne...
Des personnages attachants et meurtris au plus profond d'eux-mêmes, des artistes à la sensibilité accrue, une ambiance très jazzy, un Charlie Winston en "guest-star", voilà quelques clés de ce film.
On avait peur de voir une simple comédie romantique à l'eau de rose, mais nous avons été surpris par des personnages de marginaux attachants et les acteurs qui leur donnent de la profondeur par leur interprétation réaliste et pleine de sensibilité.
En bons geeks que nous sommes, nous allons faire notre premier article sur un RPG que nous venons tout juste de terminer : Folklore.
Ce jeu sorti sur PS3 à ses débuts, créé par Game Republic, nous plonge dans un univers teinté de folklore celtique.
Nous y incarnons tour à tour Ellen et Keats. Ellen est une jeune femme cherchant désespéramment sa mère. Elle démarre son voyage après avoir reçu une lettre signée de celle ci , l'invitant à se rendre dans le mystérieux village de Doolin. C'est là qu'elle rencontre Keats, un journaliste ésotérique, qui va l'aider dans sa quête.
Ce jeu a une ambiance toute particulière qui ne manquera pas d'attirer ceux qui auront essayé la démo (toujours disponible sur le PS store). La musique et les graphismes y sont pour beaucoup. L'O.S.T. du jeu, signée Kenji Kawai (Ghost in the Shell, Ring...) nous plonge dans une atmosphère mystique et onirique... et un brin inquiétante. Les environnements, quant à eux, ont un petit côté Tim Burton, qui plantent le décor de l'intrigue du jeu... En effet, vous allez y rencontrer des créatures toutes plus étranges les unes que les autres. La première qui vous accueille dans ce monde se nomme Scarecrow, un épouvantail, comme son nom l'indique.
Parlons maintenant du gameplay, deuxième gros point fort du jeu. On s'éloigne ici des classiques du genre comme FF ou DQ (Final Fantasy et Dragon Quest pour les non initiés). En effet, les combats se déroulant en temps réel, associe une gestion du bestiaire et un bon timing. Chaque bouton de la manette est associée à une créature appelée Folk, la faisant attaquer selon ses caractéristiques pour affaiblir l'ennemi afin de le tuer ou de le capturer. Le nouveau folk capturé se joint à l'équipe et peut à son tour être affecté à un bouton. La gestion de ces folks est donc centrale dans le jeu.
Malgré ces points positifs, nous pouvons déplorer quelques défauts comme le côté répétitif des environnements (problème récurrent des dungeon-rpg selon nous) et un scénario qui aurait pu être un peu plus fouillé. Enfin la capture des folks, qui utilise les "toutes nouvelles" fonctions Sixaxis de la ps3, est parfois un peu fastidieuse, ce qui a pu entraîner quelques pertes de sang froid ^^
Pour conclure, Folklore est un bon jeu qui n'a pas reçu le succès qu'il aurait mérité et que nous conseillons vivement.
N'hésitez pas à essayer la démo gratuite sur le ps store pour vous faire une première idée ;)
A noter qu'il est aujourd'hui difficile à trouver, même en occasion. A surveiller sur les sites de vente en ligne.
Cela fait un moment que nous avons envie de créer un blog pour présenter nos coups de coeur littéraires, cinématographiques, musicaux et vidéoludiques. On se jette enfin à l'eau !
La maison d'une instit et d'un libraire ne peut que déborder de livres. Donc autant vous présenter ceux que nous avons aimés. On aime on partage !
Les livres se partagent la place avec les jeux vidéos et consoles. Les dvd ne sont pas en reste non plus ! Autant dire qu'il ne reste pas beaucoup de place pour caser deux chats et un lapin ;)
Nos lectures se dirigent plutôt vers la fantasy, la sf, la littérature jeunesse , les mangas et les bd.
